Traduction juridique anglais
Traduction juridique depuis et vers l’anglais : une nécessité pour nos clients
Un document est considéré comme juridique dès lors qu’il fait référence à des textes de loi nationaux, continentaux ou internationaux, qu’il concerne des acteurs du monde juridique – et donc contient du vocabulaire spécialisé – ou qu’il sert de référence entre plusieurs parties en cas de litige (on parle alors de contrat, au sens large du terme).
L’anglais est – probablement pour de nombreuses années encore, tant on sent la nécessité pour les Chinois de maîtriser cette langue – la langue de référence en matière de business international. Dans tous les domaines, juridique, technique, financier, industriel et technologique, médical et pharmaceutique, elle constitue le fondement des échanges internationaux de toute entité juridique. Les groupes internationaux – même ceux dont les sièges sont situés hors des pays anglo-saxons – ont depuis très longtemps fait de l’anglais leur langue officielle… et officieuse, pour des raisons pratiques.
Dans un contexte où le droit national, le droit communautaire et le droit international sont omniprésents dans les échanges commerciaux transnationaux et internationaux, l’anglais se voit comme LA langue de l’échange juridique et du contrat, que ce soit pour des rédactions à valeur contractuelle ou informative. La nécessité pour une société française d’adapter ses documents juridiques à cette langue est dès lors fréquente et récurrente : contrats à l’export, conditions générales de vente de sites internet, communiqués de presse à teneur juridique… autant de raisons de mobiliser des spécialistes de l’anglais juridique pour maîtriser ses enjeux commerciaux, juridiques ou communicationnels.
Les documents impliqués dans ces échanges étant très spécialisés, leur traduction en anglais n’est pas chose aisée : l’appel à un spécialiste de la traduction juridique depuis ou vers l’anglais se justifie pleinement.
Traduction juridique anglais : nos solutions
Depuis plusieurs années, nous investissons dans la constitution d’un pôle de traducteurs juridiques anglais ou français pouvant répondre, de façon adaptée, aux demandes de nos clients.
La diversité de ces profils est vouée à répondre de façon optimisée à tous les cas de figure rencontrés par nos clients dans le cadre d’une traduction juridique en anglais.
Par exemple, citons cette société irlandaise souhaitant implanter une succursale à Paris : la traduction de ses statuts est obligatoire pour son enregistrement auprès de la CCI de Paris et son budget est serré. Soyons clairs, le document juridique traduit de l’anglais au français ne sera jamais consulté. Nous avons su produire une traduction juridique anglais – français reprenant de façon rigoureuse les statuts originaux, sans nous préoccuper de littérature, pour un budget rentrant dans celui du client, en mobilisant un traducteur français spécialisé juridique.
Autre illustration : l’entité française d’un cabinet d’avocats international souhaitait diffuser un communiqué de presse définissant le travail effectué dans le cadre d’une mission d’accompagnement juridique d’un de ses clients, pour une acquisition de société. Ici, la problématique était beaucoup plus qualitative : pour la traduction juridique en anglais britannique, nous avons fait appel à un avocat anglais en exercice, spécialisé dans les M&A, et excellent écrivain de surcroît. Bien évidemment, le coût n’était pas le même, mais le critère principal du client – l’aspect qualitatif de la traduction – a été pleinement atteint.
On comprend donc qu’un large panel de traducteurs juridiques est nécessaire pour proposer des solutions optimales à nos clients. Et que la première question que nous vous poserons lors de nos échanges ne concernera pas le document juridique – français ou anglais – lui-même, mais le contexte de votre traduction.